Récemment, j’ai lu un article fort intéressant sur notre rapport aux écrans et à la lecture. On y abordait les récompenses constantes que nous apportent notre cellulaire et notre difficulté à se concentrer profondément dans nos tâches. J’ai alors pensé à ceci: et si mes écrans étaient en partie responsables de mon inefficacité à terminer mes livres?
Sur ma table de nuit, quatre livres m’attendent. Ils sont là, tous entamés et avancés à des degrés différents, rivalisant l’un avec l’autre pour être ouverts dans mes moments de détente. C’est que je ne me contente pas de lire un livre à la fois et cela commence à être un problème.
Un passage obligé lorsque j’ai commencé à m’intéresser sérieusement à la littérature était la lecture de classiques. Pour certains, ces oeuvres sont synonymes de grandiose et de génie littéraire, mais pour d’autres, elles représentent une épreuve intimidante. Parce qu’il faut se l’avouer, ce ne sont pas tous les classiques qui sont faciles d’approche! Alors, comment les apprivoiser?
J’ai l’impression que tu n’as pas toujours bonne presse auprès du grand public. On sent parfois que tu es considérée comme un livre de second ordre et je dois avouer que je succombe à ce jugement à l’occasion.
Chaque année, plusieurs défis de lecture sont lancés un peu partout sur le web. Pour la première fois, en 2018, j’ai décidé de participer à ce genre de défi en m’inscrivant sur la plateforme Goodreads et ç’a été plus difficile à relever que ce à quoi je m’attendais…
Ma lecture du temps des fêtes n’était pas très “Noël”, mais elle avait juste assez de pages pour me donner le courage de la finir avant un mois! Alice marche sur Fabrice de Rosalie Roy-Boucher nous transporte sur le chemin de Compostelle, là où Alice tente de panser ses blessures d’amour.
Montréalaise, lectrice assidue et ex-libraire, je collectionne les livres depuis toute jeune et les feuillettes depuis toujours. La musique et les arts sont d'autres amours qui façonnent mon univers.