Juliet Ashton est une journaliste et écrivaine à succès. Après avoir rédigé sous un pseudonyme des chroniques humoristiques dans les journaux pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est à la recherche de sa propre voix et de son prochain sujet d’écriture. C’est lors de cette quête d’inspiration qu’une lettre en provenance de Guernsey, une île de la Manche, lui parvient et bouleverse sa vie grâce à la mention d’un club de lecture bien particulier.
Grandir n’est jamais facile, surtout lorsqu’on n’est pas comme les autres. C’est le cas du personnage principal d’À l’abri des hommes et des choses de Stéphanie Boulay, une jeune fille décalée et marginale en pleine croissance, à la découverte de son identité en tant que femme, des premières amours et des amitiés compliquées.
Little Women de Louisa May Alcott est un classique de la littérature américaine. Ce roman écrit au 19e siècle a inspiré de nombreuses lectrices grâce à ses quatre héroïnes, les soeurs March. De celles-ci, la principale, Jo March, a marqué l’imaginaire et a réussi à transmettre son amour de l’écriture et son désir d’indépendance aux jeunes femmes à travers les époques et c’est en partie ce qui m’a attiré vers cette lecture en décembre dernier.
Quand j’étais jeune, j’aspirais à écrire une grande oeuvre de fiction. Ayant grandi dans l’ère Harry Potter et autres séries fantastiques marquantes, ces univers étaient au coeur de mon imagination et je me voyais déjà écrire la réalisation d’une vie.
Le roman Homo sapienne, premier effort de Niviaq Korneliussen, est un tour de force. Chez elle comme à l’international, l’autrice a donné une visibilité à une communauté encore marginalisée dans la littérature populaire en plus d’exposer ces lecteurs étrangers à un territoire peu connu, le Groenland.
L’automne dernier, je voyais le livre Station Eleven d’Emily St. John Mandel partout. Les critiques à son sujet étaient élogieuses et j’en entendais que du bon autour de moi. Ne sachant pas ce qui m’attendait, j’étais emballée de pouvoir le commencer. Pourtant, plus j’avançais dans ma lecture, plus je devenais anxieuse face aux événements qui peuplaient les pages. Malgré moi, j’étais de plus en plus réticente à l’ouvrir. J’avais déclenché ce nouveau mal, l’écoanxiété.
Montréalaise, lectrice assidue et ex-libraire, je collectionne les livres depuis toute jeune et les feuillettes depuis toujours. La musique et les arts sont d'autres amours qui façonnent mon univers.